
Pour être honnête avec vous, je n’ai pas connu Steven the Sweet Boy quand il était le meilleur lutteur poids légers de tout le Québec. J’ai rencontré le Sweet Boy tout d’abord en tant que commissaire à la WTA, puis en tant que lutteur sur le show d’Halloween de La Lutte C Vrai que j’ai animé en 2023; il m’avait beaucoup aidé, car j’étais honnêtement très nerveux.
J’ai découvert un homme hyper sympathique que je considère maintenant un ami. C’est pourquoi quand j’ai appris qu’il prenait sa retraite pour vrai, j’ai voulu souligner l’événement à ma manière.
Celui qui a commencé sa carrière il y a plus de vingt-neuf ans va nous raconter son fascinant parcours dont son hiatus du monde de la lutte qui a duré plus de quinze ans.

Mr D: Salut Sweet! Comment la lutte est entrée dans ta vie?
Sweet Boy: La lutte est arrivée très bizarrement dans ma vie, en octobre 1995. J’avais 15 ans. Dans ma ville natale, à l’Épiphanie, il y avait un gala présenté par Lutte Lanaudière, l’inoubliable organisation qui allait devenir la NCW plus tard.
Il n’y avait pas grand chose à faire dans ce petit village, alors j’ai décidé d’aller voir ça. J’ai été curieusement très étonné. Je n’étais pas vraiment fan, mais à partir de là, j’avais qu’une idée en tête… Devenir un lutteur professionnel.
Sweet Boy: Avant ça, j’étais karatéka, donc non la lutte n’avait pas beaucoup de place dans ma vie… Mais je te dirais que suite au gala, je me suis mis à louer des cassettes de lutte sans arrêt. Mes inspirations ont été le Ultimate Warrior pour l’énergie et son charisme, Shawn Michaels pour sa magnifique lutte et son assurance et Rob Van Dam qui m’a appris qu’on pouvait faire autrement et innover.

Mr D: C’est différent, j’aime ça! Moi j’ai fait un peu de judo/tae kwon do. C’était le fun. Avec qui es tu aller à ce premier gala? Des amis, de la famille?
Sweet Boy: J’y suis aller seul… Je suis plutôt solitaire; très social, mais très peu sociable.

Mr D: Es tu allé parler au Grizzly pour t’informer dès le premier gala que tu as vu? Raconte moi ta rencontre avec Marc!
Sweet Boy: Tout de suite après mon premier show, je me suis dirigé vers Marc. Je lui ai demandé s’il pouvait me donner des cours de lutte, et lui de me répondre…. « Désolé, mais je ne donne pas de cours de lutte… » Ouin! lol
Plan B: vendre la peau de l’ours avant de la avoir tué!
Au même moment, à mon école secondaire, il y avait un programme sport étude… Un genre de programme où on pouvait donner des suggestions à nos profs d’éducation physique.
Sans même en avoir parlé avec mon école, j’ai dit à Marc: « Dommage, j’ai un grand gymnase plein de matelas qu’on pourrait utiliser pour des cours… »
Et à ce moment, j’ai vu des étoiles dans ses yeux!!
Marc est venu à mon école pour rencontrer mon directeur, et le Sweet était parti!

Mr D: Très cool! Après combien de temps as tu commencé à lutter et dans quelles circonstances sont survenues tes débuts?
Sweet Boy: Avant de commencer à lutter, j’ai eu deux ou trois apparitions en tant « qu’accompagnateur » d’une équipe composée de Marz et de je ne sais plus qui: Cette équipe s’appelait les Sweet Boys!

Sweet Boy: Mon premier match a eu lieu au printemps 1996, à Valleyfield si je me souviens bien. Je crois qu’un lutteur nommé The Rocker ne pouvait être la…
alors c’était mon tour! Ouff nerveux le ti-gars!
Petite anecdote drôle: Je me souviens un peu plus tard, j’ai dit à mon booker (Bertrand Hébert) du haut de mes 16 ans avec mon arrogance que je ne voulais pas m’appeler Steven the Sweet Boy! Et lui de me répondre: « Ferme ta gueule, tu t’appelles Sweet Boy!!! » Bertrand était très imposant, alors j’ai fermé ma gueule j’vous l’dis!! Hahahaha!

Mr D: Tu es devenu le Sweet Boy suite à ton association avec LES Sweet Boys? Que sont ils devenus?
Sweet Boy: Oui, probablement que ça les a inspiré, j’imagine… J’ai pas décidé de grand chose mettons hahahah! Et que sont devenus les Sweet Boys? Aucune idée, souvenir trop lointain hahaha!

Mr D: Te souviens tu de tes débuts à la NCW?
Sweet Boy: Je ne me rappelle pas l’exactitude de mes dates, mais si ma mémoire est bonne, j’ai commencé avec Lutte Lanaudière, l’inoubliable qui a changé de nom pour la NCW, en 1997 je crois. J’étais donc là au jour 1 de la promotion.

Sweet Boy: Mes débuts à la NCW, j’ai été le gentil du ring pour les quatre premiers galas, mais je n’avais pas beaucoup d’expérience avec la foule et se faire aimer est beaucoup plus difficile que de se faire haïr hahahah.
J’ai donc réalisé que ma place était dans « les méchants » et voilà que ma carrière était lancée.
Mr D: Qu’est-ce que tu faisais de différent quand tu es devenu un méchant?
Sweet Boy: Quand j’ai tourné heel, ma carrière a pris de l’ampleur. Mon personnage devenait plus sérieux, avec plein d’arrogance et imbus de lui même. J’avais une grande facilité à me faire détester hahahah
Plein de petits noms sont venus avec mon personnage comme la Dynamo Sexuel ou Roméo le Playboy hahaha!
A partir de là, je me suis mis à enchaîner les victoires.

Mr D: Ça serait quoi les plus gros matchs ou rivalités dans cette première partie de ta carrière?
Sweet Boy: À cette époque, j’ai eu des bonnes rivalités avec Dennis Sensation, Franky the Mobster, Cobra, Chakal, ect…
Sweet Boy: Mon moment le plus mémorable en carrière a été un match Triple Menaces. J’étais déjà champion de la TV NCW et je devais affronter Franky the Mobster et nulle autre que le Géant Golem en même temps!
Sweet Boy: Le Géant qui était le champion Inter-Cités NCW du haut de ses 6″5: pratiquement indestructible! Et FTM, un danger de 6″2 pour tous!
Tous les titres étaient en jeux! Et à la fin du combat, je me suis retrouvé avec ma ceinture de championnat de la TV, mais en prime j’étais le nouveau champion Inter-Cités de la NCW! J’avais tout raflé et je suis reparti avec le titre de double champion.
Mr D: Avec autant de ceintures, sentais tu de la jalousie des autres lutteurs?
Sweet Boy: Non, pas du tout. Je pense qu’ils étaient content pour moi. Dans ce temps là, on allait pas lutter ailleurs et il n’y avait personne de l’extérieur qui venait lutter à la NCW. C’était une gang amicale qui faisait de la lutte ensemble. C’est ça qui m’a plu au début, c’était quasi familial.

Mr D: Tu luttais exclusivement pour la NCW à cette époque? Si tu avais pu lutter ailleurs, ça aurait été à quel endroit?
Sweet Boy: Oui pour mon début de carrière, j’ai été exclusif à la NCW de 96 à 2004… J’avais vraiment cette organisation tatoué sur le cœur et pour moi, il était impensable d’aller lutter ailleurs.

Sweet Boy: Fait cocasse, malgré que mon booker ne semblait pas m’aimer particulièrement, il me faisait gagner le trois quarts de mes matchs hahahah! A n’y rien comprendre.
Mr D: Tu m’as déjà raconté une histoire super cute avec une jeune partisane. Peux tu la raconter à nos lecteurs?
Sweet Boy: Il y avait une petite fille qui venait à tous les galas pour que je lui signe un autographe avec la photo qui vient avec…

Sweet Boy: Je ne m’aurais jamais douté que cette petite fille allait devenir ma future femme 16 ans plus tard en la croisant dans l’autobus! Elle m’avait reconnu après toutes ces années grâce à mon tatouage. Oui, tout peut arriver.
Mr D: Qu’est-ce qui t’a poussé à arrêter de lutter en 2004? La passion n’était plus là?
Sweet Boy: La passion y était encore, sauf que petit à petit les choses changeaient. Les mentalités des lutteurs changeaient aussi. Beaucoup ne seront pas d’accord avec moi, mais pour moi la lutte reste un spectacle, sérieux ou non: une pièce de théâtre avec accessoires.

Sweet Boy: Exemple Quand j’étais champion, je l’étais seulement « pendant » le spectacle , mais absolument pas avant ou après. Je ne me voyais pas me comporter comme un champion si la pièce de théâtre n’était pas commencée. Avant ou après le spectacle, je suis seulement Francis Meunier et lui n’est pas champion.
Sweet Boy: Quand je me suis rendu compte que les gars commençaient à se comporter en champions même avant ou après le gala, c’est là que j’ai décroché petit à petit. Je ne comprenais pas cette mentalité. La naissance de mon garçon le 11 mars 2004 à aider à ma décision de quitter définitivement le merveilleux monde de la lutte pour plusieurs années.
Mr D: As tu fini de la façon que tu voulais? Te souviens tu de ton dernier match en 2004?
Sweet Boy: Mon dernier match a été contre Franky the Mobster le 17 juillet 2004. Ensuite j’ai quitté sans trop dire le pourquoi… Mais je suis quand même heureux de la première partie de ma carrière et de mes treize championnats gagnés à la NCW.
Mr D: Est ce que la lutte te manquait pendant cette pause? Quelle était ta relation avec la lutte durant cette longue absence? Voyais tu encore des amis de la lutte, y allais tu de temps en temps?
Sweet Boy: Je suis plutôt extrémiste, pour moi c’est à fond la caisse ou pas du tout.
Après mon départ du monde de la lutte j’ai vraiment passer à autre choses. Je me suis concentrer sur moi même et non Steven the Sweet Boy. J’ai eu ma fille en 2006, alors mes enfants et ma nouvelle passion pour le Drum ont pris toute la place.
Sweet Boy: Je n’y suis donc pas retourné et j’avais tourné la page définitivement. Le seul petit regret que j’ai, est que je me suis fait appeler par la NCW pour m’introniser au temple de la renommée et je n’y suis pas allé, ma vie et mon cœur était ailleurs.

Mr D: Qu’est-ce qui t’a incité à faire un retour autant d’années plus tard?
Sweet Boy: En 2019, mes enfants devenus grands, je vous dirais que j’avais atteint le stade où j’étais devenu stable. Ma vie allait à merveille, mais encore une fois, la lutte ne faisait pas partie de mes plans.

Sweet Boy: Une bonne journée, le téléphone sonne. C’était Yannick Noel (un ami du secondaire avec qui j’avais fait 2-3 cours de lutte) il me dit tout simplement: « Je pars une organisation de lutte, La Lutte C Vrai, ça te tente tu de faire un retour? »
WoW! L’idée m’a plu, c’était le parfait timing. Le Sweet était reparti!

Mr D: Qu’est-ce que qui t’a fait le plus plaisir durant ce retour, es tu heureux de l’avoir fait?
Sweet Boy: Oui je suis vraiment fier d’avoir fait un retour et je remercie Yannick Noel d’avoir pensé à moi pour ça!
Dans ma tête, après 14 énormes années d’absence, j’étais convaincu que j’étais devenu un parfait inconnu dans le monde de la lutte. J’ai eu la très agréable surprise de constater que non. Les gens et les amateurs de lutte me connaissent!Ça m’a rendu très heureux.
Sweet Boy: Dû au fait que la LLCV m’avait choisie, j’ai décidé de devenir exclusif à cette organisation et pour faire changement, j’ai jouer le gentil du ring. Ça m’a énormément plu de pouvoir jouer avec les fans à tous les galas. Donc oui, je suis heureux d’avoir interprété le personnage pour une autre « run ».
Mr D: Pourquoi as tu choisi le jeune Justicia pour ton dernier match?
Sweet Boy: Pour mon dernier match, j’ai choisi Justicia, aussi connu sous le nom de « Yan Ouellet », parce je trouve ce garçon fantastique. Un jeune père de famille dévoué et passionné.
Pendant mon retour, je me suis gravement blessé au dos… Quatre protusions discales: de là ma retraite… Alors j’avais demandé aux dirigeants de LLCV de me donner une recrue à affronter pour ne pas avoir un match trop exigeant et dangereux pour mon dos. Ils m’ont donné Yan… Il a appris mon style de lutte très rapidement.

Sweet Boy: Je me suis aperçu qu’on faisait d’excellents matchs ensemble! J’ai eu beaucoup de plaisir avec tous mes adversaires pendant mon retour, sans exception, mais j’avoue que j’ai vraiment un plaisir fou dans le ring avec ce gamin.

Sweet Boy: Maintenant, Justicia n’est plus une recrue; il m’a fait plein de coups bas et il devient meilleur et plus dangereux à tous les jours alors que moi je vieillis de plus en plus hahahaha!
Le 13 septembre, ça sera mon dernier combat avec lui. Le match sera intense, difficile et violent. On règlera nos vieilles chicanes dans le ring une fois pour toutes et je compte bien partir la tête haute.

Mr D: Parle moi de ton truc qui fonctionne toujours pour un babyface: dire qu’on est un gars de la place même si c’est complètement faux? Héhé!
Sweet Boy: Premièrement, si tu aimes les gens et le monde pour vrai, ça va grandement aider à ta compréhension d’un public. Sans jouer le rôle du Sweet Boy, si je suis content pour vrai de voir les gens dans la salle, ils vont le ressentir et ça va créer un grande proximité entre moi et eux.
Pour moi la lutte indy, c’est 30% de lutte et 70% de jouer avec le public. Et aussi…. Peu importe la ville où je lutte, je me fais toujours annoncer en provenance de cette ville! Hahahahah! Qui sait que c’est pas vrai?
Mr D: Tu étais un si bon heel, qu’est ce qui a été le plus difficile pour toi dans cette nouvelle attitude de bon gars? Trouves tu que c’est plus difficile d’être heel ou face?
Sweet Boy: Merci du compliment À vrai dire, j’ai adoré jouer les méchants dans la première partie de ma carrière, c’est évidemment plus facile d’être Heel. Faut encore savoir être un bon Heel, mais ça c’est un autre histoire hahahah.
Je t’avouerai qu’avec mon expérience, ça a été plutôt facile de devenir le gentil. C’est dans mon ADN d’être Sweet!
Mr D: Quels sont tes plans pour ton après carrière de lutteur?
Sweet Boy: Après ma retraite du ring j’aimerais apprendre la guitare pourquoi pas hahahah! Mais j’ai encore ma place dans le monde de la lutte. Je suis actuellement le commissaire de l’organisation WTA (Wrestling Titans Atlas) que j’adore et qui devient meilleure à tous les galas.

Sweet Boy: Je suis également directeur général de la LLCV (La Lutte C Vrai), alors mon travail et mon expertise ne sont pas terminés. J’ai encore de l’ordre à mettre dans ces deux organisations!
Sweet Boy: Et entre vous et moi… J’ai encore beaucoup de cul à botter😉👊🏼
Je vous aimes tous! Merci pour ces belles années et on se voit une dernière fois le 13 Septembre à la Cabane à Sucre des Sportifs! 400 Rang Montcalm à Saint-Esprit au Québec!

J’en profite pour dire au Sweet qu’il fait maintenant parti du Temple de la Renommée du Divertissement Sportif Point Québec. Toutes mes félicitations!
Et comme il est coutume quand un lutteur qui a eu une longue et magnifique carrière décide de prendre sa retraite pour vrai, je demande à ses copains du domaine de la lutte s’ils n’auraient pas un petit quelque chose à lui dire pour souligner ce moment si important.
MICHEL PICHÉ
MARC LE GRIZZLY

Steven the Sweet Boy était un bon élève. Désireux d’apprendre, un vrai modèle dès son jeune âge, je me souviens qu’il achalait les dirigeants de Lutte Lanaudière à l’époque lorsque nous faisions des shows à l’Épiphanie!
Ceux-ci sont venus me voir en me disant qu’il y a un jeune fatiguant qui veut apprendre a lutter, mais qu’il est trop jeune. Parles y donc, nous on est pu capable!
Je venais d’être nommé coach, alors je suis aller le voir et en activité parascolaire, j’ai commencé à l’entraîné, lui et quelques amis. Ce fut donc le début d’une grande aventure, car j avais fait un deal avec le directeur: j’entraine tes jeunes et le soir j’entraîne les plus vieux dans le local. Ça marché pendant des années lolll.
Même quand Francis en était pu là, j’ai quand même pu continuer l’activité et entrainer mes gars là pour la NCW.
PAT LAPRADE

J’ai assisté à mon premier spectacle de lutte indépendante au Québec le 5 août 2001 en compagnie d’un de mes amis, Philippe Leclair, et Jean-Francois Kelly, que je rencontrais pour la première fois.
Nous étions à la Brasserie 99 sur Hochelaga, à quelques minutes à pied d’où j’habitais et le tout était présenté par la NCW.
Puis, à un certain moment, un lutteur du nom de Steven le Sweet Boy a fait son entrée dans l’arène.
Et au micro il a dit: « Moé, j’viens d’Hochelaga! »
Étant assis en 3e ou 4e rangée, beaucoup plus proche que je ne l’avais jamais été pour un spectacle de lutte auparavant, je me suis aussitôt senti interpelé et j’ai répliqué: « MOI AUSSI! »
La réponse fut sans merci: « Toé, TA GUEULE! »
J’ai pogné quelque chose! J’en revenais pas qu’un lutteur venait d’interagir avec moi. J’étais accro!
Quelques semaines plus tard, je suis allé voir un spectacle de la FLQ, puis de la ICW. Et un peu plus d’un mois plus tard je faisais mes débuts à la FLQ comme sonneur de cloche.
Le suite, comme on dit, on la connaît!
Bonne retraite Francis et merci de m’avoir fait découvrir à ta façon le merveilleux monde de la lutte!
SEXXXY EDDY

Le Sweet Boy est un collègue de lutte, un ami, et une partie intégrale à l’évolution de la lutte au Québec. Quelqu’un que je regardais de proche à mes débuts à la NCW. Il faisait partie de la transition d’un sport qui se concentrait sur les gros hommes, mais a permit aux cruiser-weights de démontrer leurs prouesses en hautes voltiges!
Les femmes le voulaient, et les hommes voulaient être comme lui. Comme moi, on a toujours préféré Shawn over Brett. Merci Francis, “notre Garçon Sucré”, pour tes années de dévouement dans le ring.
TONY LA PUISSANCE STALLONE

Malgré les obstacles qu’il a eu pour pouvoir faire son rêve de lutter, vu que ce n’est pas un milieu facile, mais il n’a jamais baisser le bras et il a pu réaliser son rêve malgré les critiques et l’hypocrisie qui règne dans le milieu.
Bonne retraite Sweet!
NOVA CAIN

Avec Francis, c’était impossible de s’ennuyer, toujours de quoi à raconter et faire rire. Il mettait le fun backstage et dans nos road trips. Steven avait un talent naturel pour la lutte.
Que ça soit un roundhouse kick, superkick ou le frog splash, tout était executé à la perfection. Bonne retraites lol
En passant, mon Francis, tu me dois encore une paire de billet front row pour la WWF 😛
BULLDOZER

Sweet Boy est très bon gars dans chambre et donne toujours un bon show. Si on besoin pour conseils, yé là!
JOHNNY DEE ALIAS BOBBY BOUGON ALIAS BOBBY HEEL

Mon cher sweet Boy je n’ai jamais eu la chance de t’affronter, mais j’ai eu l’immense plaisir de te côtoyer dans plusieurs backstage. Ce que je retiens surtout de toi, c’est ton immense bonne humeur et ton grand sourire!
Ti-cul, j’allais te voir à la NCW; tu m’as permis de voir que c’est pas parce qu’on n’est pas très grand que l’on peut pas faire ce qui nous passionne! Je te souhaite une bonne retraite même si dans notre merveilleux sport ce mot n’est jamais coulé dans le béton.
JACK CRUZ

Salut Bo Bébé! Dans vie, t’es une vedette ou pas ! Ça tombe ben, on est toute des vedette! Angelo nous a quitter, Roméo le playboy nous a quitté, SSB VA NOUS QUITTER! Mais toi, l’homme derrière tes belles gimmicks, reste avec nous!

Aujourd’hui Francis c’est un au revoir! En tant que lutteur, mais pas que personne Tu nous as apporté beaucoup de moment dans la lutte! Des moins bons aussi, mai HEILLE MERCI POUR LA CLOCHE! Tu va nous manquer ma grosse
Une Tite dernière avant ?? Sabrinnaaaaaa je su***ce ton Kote****x
okay bye
jtaime bro
DRENUKE

À mes « débuts », lorsque je suivais la NCW, le nom de Steven The Sweet Boy m’avait toujours intrigué, car Steven n’avait pas de nom de famille; assez pour piquer ma curiosité envers ce cruiserweight, où la haute voltige était rare durant cette période.
Et puis Steven quitta la NCW sans fanfare ni trompette.
Celui-ci réapparu à la IWA-QC, dans son patelin et en devenant la coqueluche de la région.
Avec tout ça, on ne s’est jamais adressé la parole, mais Steven savait tout sur moi et nous étions intéressés à savoir davantage sur chacun.
Durant mes années de booking, Steven fut aussi le malchanceux, où je n’ai pu l’insérer dans la bataille royale du 30e anniversaire de la NCW. Ça a fait aussi chou blanc lors de sa tournée d’Adieu, où une blessure avait remis le projet à plus tard.
J’ai hâte de bronzer-plaquer ses kickpads.
LE MANIAQUE OLYMPIQUE

J’ai eu la chance de voir Steven The Sweet Boy en action seulement deux fois, mais je lui souhaite bonne chance dans son match du 13 septembre et une bonne retraite!
CHRISTIANE

Même quand il était dans les méchants, Sweet Boy était un bon gars au grand coeur. Et maintenant qu’il est du bon bord, il est encore plus gentil.
Francis a toujours été très gentil avec moi, très patient. C’est un excellent lutteur et une excellente personne. Je lui souhaite une belle retraite!
JUSTICIA

Sweet Boy je le connais depuis que j’ai commencé mes premiers matchs de lutte en 2021, juste après la pandémie. On s’est souvent croiser dans le backstage de certains gala: WTA, LLCV, ALQ, ect…
Ça a toujours été une personne que j’ai toujours voulu affronter jusqu’àu jour le 7 septembre 2024 à la LLCV pour la toute première fois on était dans le même ring un contre un: Justicia vs Steven The Sweet Boy!
C’était un très bon match! Quand on est revenus backstage, Sweet Boy m’a dit mot pour mot: « T’es un bon petit gars, c’est le fun de monter dans un ring avec toi. T’es attentif, à l’écoute et tu veux aller loin dans la vie! » Ça m’a faite du bien d’entendre ces mots là qui venaient d’un vétéran comme lui!
Son move de finition, le Spinning Kick (? si c’est comme ça qu’il le dit lol), il m’a dit que je suis l’un des premiers qui le mange très bien et il voulait absolument m’affrontrer de nouveau!
Notre 2e affrontement s’est fait en janvier 2024 à la CWA de Tony Pizza et maintenant, quelques mois plus tard, je reçois un texte de Sweet Boy comme quoi au gala de la IWA le 13 septembre 2025 il prend sa retraite pour de bon après un tout dernier match et qu’il voulait que ça soit moi son adversaire final!
Quand j’ai vu ça, je suis restée bouche bée! Dans tous les lutteurs au Québec, je suis loin d’être le meilleur ni le plus hot dans un ring. Sweet Boy aurait pus choisir des gars comme Jack Cruz, Mr Cobra, Brad Alekxis, Ben Robert ou n’importe autre gros talent, mais non il voulait vraiment moi!
C’est avec honneur que j’ai accepté et que j’ai fait ma promesse personnelle; je vais tout faire pour qu’il ait un excellent match de retraite, peu importe celui qui va sortir victorieux. Pour moi, c’est plus qu’une histoire ou une Storyline entre les boys.
Non, pour moi, c’est le moment le plus audacieux de toute ma carrière que je fais, ça c’est très gros pour moi et je vais m’assurer qu’il sois fier de moi et fier du combat qu’on va avoir donné. Je t’aime mon Sweet Boy!
T’es un bon gars, pis même si tu ne lutteras plus après tout ça, je veux continuer à te voir dans les backstages des autres fédérations
Ton chum de gars qui t’aime fort,
Yan Ouellet (Justicia) 🙂🙂🙂🙂

Ne manquez pas le tout dernier combat de la carrière de Steven le Sweet Boy samedi le 13 septembre lors du gala 25e anniversaire de la IWA-Qc face à JUSTICIAAAAA!
Tous les détails sur la page Facebook de La Lutte C Vrai:

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