Débuté dans la lutte à 4 ans et entraîné 15 ans plus tard; l’Histoire de Jaxon James!

L’entrevue que vous avez lire aujourd’hui est très importante, surtout pour tous les jeunes qui aspirent un jour à devenir lutteur. L’entraînement d’un lutteur est primordial; ne faites pas les mêmes erreurs que Jaxon qui croyait tout savoir!

Monsieur Divertissement: Salut Jaxon! Tu es venu me voir le mois passé pour me dire que ton histoire devait être racontée. Alors vas-y, le plancher est à toi!

Jaxon James: J’ai commencé dans la lutte comme Manager de Blazer et Voltage à la NBW et ce, dès l’âge de 4 ans!

Mr D: Pour commencé si jeune, tu avais une plug dans le milieu? Ton père est promoteur!

Jaxon: Mon père est devenu promoteur quelques années plus tard. J’allais voir les galas de la NBW avec mes parents. Ça a commencé suite à une gifle reçue de Voltage et Blazer m’a pris et mis sur ses épaules! Le sketch était arrangé évidemment. J’ai commencé à les accompagner au ring, tout ça avec l’accord de mes parents et de monsieur Jack Lefebvre, propriétaire de la NBW.

Mr D: Ton père aussi était impliqué?

Jaxon: Mon père a commencé quelques mois après moi avec en étant impliqué auprès de Johnny the Best et Mean Machine avant d’être Manager des Satan’s Foundation. Nos équipes s’affrontaient!

Mr D: Au début, j’imagine que vu ton jeune âge tu te contentais d’accompagner les lutteurs. Quand as-tu commencé à jouer un rôle un peu plus important?

Jaxon: À partir de 7 ans j’ai eu quelques petites implications dans des combats comme faire des jambettes, niaiser l’adversaire, ect… Par la suite à la SWF, je me suis séparer de Blazer et VOLTAGE pour m’en aller avec les Thunder Team former de SEXY JOHNY GABIO sous le nom de Sexy Tommy et maintenant je lutte sur le nom de Jaxon James.

Mr D: Quand as-tu commencé à lutter?

Jaxon: Mon premier combat était quand j’avais 12 ans et j’ai lutter jusqu’à 15 ans. J’ai entre autre lutté contre mon père 2 fois! Après j’ai pris un break et je suis revenue à 18 ans

Mr D: Qui était ton entraineur?

Jaxon: J’ai pas vraiment eu d’entraînement, car j’étais une tête enfler et je savais toute! Je connaissais toute, mais au fond, je ne connaissais rien. Je n’étais pas ouvert aux critiques, rien, et cela m’a nuit jusqu’à mars 2017.

Mr D: Et pourquoi la pause de 3 ans? Tu étais blessé?

Jaxon: De 15 ans à 18 ans, j’ai arrêté car personne voulais me Booker suite à ma mauvaise attitude. J’ai compris à 19 ans qu’il fallait que je mette mon ancienne gimmick de côté et devenir quelqu’un de nouveau. C’est là que j’ai créé Jaxon James et que les portes se sont ouvertes pour moi. En 2017, j’ai fait une commotion et il m’a fallu ça pour que je comprenne bien des choses.

Mr D: Peux-tu m’expliquer pourquoi tu as choisi ce nom en particulier et ce que le personnage de Jaxon James représente pour toi?

Jaxon: Jaxon c’est pour le personnage de Jaxon Teller de Sons of Anarchy et que j’adore ce nom! James est en hommage de mon petit frère décédé alors à chaque fois que je lutte mon porte bonheur est présent. Ma mère l’a eu à 6 mois de grossesse, un bébé prématuré. Perdre mon frère avant même de le connaître est le deuil le plus dur de toute ma vie c’es la raison pour laquelle je porte son nom aujourd’hui. Mon personnage est quelqu’un qui n’a peur de rien et qui relève tous les défis qui s’imposent à lui.

Mr D: Tu peux me dire le genre de choses que tu ne faisais pas correctement vu ton manque d’entraînement?

Jaxon: Bien avant, je ne prenais pas se qu’on appelle « taking over » quand c’était mon moment, je figais! Alors les 2 nous avions l’air vraiment sans dessein! Quand on me parlait, j’écoutais pas et je faisais tout simplement autre chose. Par la suite, j’ai suivi des conseils et des cours de Crash Hunter, Jayzon Reaper et Hyenah.

Jaxon: Par la suite, j’ai suivi des conseils et des cours de Crash Hunter, Jayzon Reaper et Hyenah. C’est Hyenah qui m’a montré tout ce que je sais aujourd’hui! Sans lui, je ne serais pas qui je suis. C’est plus qu’un prof ses un chum un frère.

Mr D: Qu’est-ce que tu considères avoir appris de ton mentor?

Jaxon: J’ai appris que toute critique est constructive, que la lutte est un monde évolutif, que tu finis jamais d’apprendre dans ce domaine et que chaque défaite mène à une victoire.

Mr D: Quel serait ton but ultime en tant que lutteurs?

Jaxon: J’ai déjà lutté pour quelques fédération, mais j’en vise d’autres aussi! Alors je me donne à fond, toujours. Les fédération que j’ai faites à date, dans aucun ordre précis: NBW, SWF, FLSH, FWF, GEW, EWE, LAFED, IWA-QC, ALC, WTA, GNW, DCW, MCW, LPQ, XSW, OCW et LLCV. Mon rêve c’est de pouvoir faire le plus de fédérations possible dans le circuit indépendant et d’avoir un agenda comblé! Je tiens à remercier particulièrement les dirigeants de la WTA qui ont cru en moi dès le début et qui m’ont donné ma chance pendant que tous les autres me ridiculisaient.

Mr D: On peut donc conclure que le message que tu envoies à tous les jeunes, c’est de se faire entraîner sérieusement avant de se lancer dans l’aventure de la lutte professionnelle. Y aurait-il autre chose que tu voudrais dire aux gens avant qu’on termine?

Jaxon: Je voudrais juste vous confier que rien ne me fait plus plaisir que quand ma fille voit mes combat et qu’elle dit papa et devient tout émerveillée! Ça serait agréable qu’un jour elle prenne la relève pour une 3e génération. Je suis fier de mon cheminement et de qui je suis devenu!

Merci à ma mère et à mon père qui m’ont laissés réaliser mon rêve de jeunesse et qui ont investi dans ma passion! Merci à mes frères et soeurs qui viennent m’encourager de gala en gala! J’ai déjà pensé accrocher mes bottes, mes grâce à ma famille je l’ai pas fait!

Un gros merci à mon cousin Denis qui me poussent depuis le début, car sans eux je ne serais pas qui je suis. Denis, l’ancien propriétaire de la DCW, il a cru en moi dès le premier jour qu’il m’a vu dans un ring! Il m’a dit: t’as un potentiel et on va montrer au monde ce que tu es capable! Après plusieurs années d’acharnement, il m’a donné Blood Hunter! Je me souviens, je me suis mis à trembler tellement j’avais peur de ne pas être à la hauteur, mais j’ai réussi avec succès tout ce qu’Hannibal m’avait demandé! Et surtout merci à mon prof Monsieur (Francis) Bouley qui après plus de 20 ans dans le domaine est encore à mes côté à me conseiller, à me botter le cul et à me dire: « Fonce ti-cul! Si y’a de quoi, appelle-moi! »